Histoire avant 1848
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Vie des Communautés
Centenaire 1914-1918

Lundi 29 Mars 2010

LE TRANSPORT URBAIN À MOSTAGANEM : UN RÉSEAU D'ANARCHIE ET DE VIOLENCE.

Mostaganem et ses environs continuent de souffrir le martyre, avec un réseau de transport public privé, qui n’est qu’un corps handicapé et violent. Tous les utilisateurs de ce transport accusent en commun ces minibus, qui ne respectent ni les horaires, ni leur ligne initiale, ni les usagers. Ils appliquent la loi du talion, disent les citoyens consultés. Plus encore, certains conducteurs animés d’un esprit de concurrence, n’hésitent pas à employer la vitesse excessive. Quant au temps dans les différents arrêts c’est selon le bon loisir du conducteur. La conduite de certains conducteurs de certains bus, notamment ceux en provenance de Ain-Nouissy, présente un risque réel aux usagers transportés, violation des points d’arrêts obligatoire, refus d’obtempérer à la signalisation du stop. Les automobilistes sachant déjà le comportement violent de certains conducteurs et receveurs de bus, qui souvent quand ils sont rappelés à l’ordre, n’hésitent pas adresser un bras d’honneur à l’automobiliste. Les usagers victimes de ce phénomène qu’ils subissent à Mostaganem sans que les instances concernées, à savoir la direction des transports et le syndicat des transporteurs, n’interviennent, se sont rodés à ces pratiques et hésitent même à s’adresser à la sûreté de wilaya pour signaler les contrevenants. Ainsi le transport de Mostaganem vers les communes de la wilaya, représente aussi des carences, aucun horaire n’est fixe, ni la ligne initiale respectée. Certains bus font complet au point du départ pour pouvoir changer d’itinéraire pour le retour à Mostaganem ils empruntent d’autres routes, abandonnant ainsi les citoyens dans l’attente dans les arrêts fixés. Ce comportement n’a pas encore attiré l’attention des responsables locaux. Ainsi, les usagers que nous avons consultés au sujet de la qualité du transport, ont exprimé leur insatisfaction du réseau des transporteurs privés.

T. B. Aek

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